Qui sont les community managers français en 2018 ?

Il y a quelques jours, le Blog Du Modérateur a publié les résultats de son enquête concernant les community mangers exerçant dans l’Hexagone. Cela fait huit ans que la plateforme effectue son analyse annuelle afin de mieux cerner les caractéristiques de ce secteur et de ses travailleurs, mais aussi son évolution. Au total, ce sont plus de 1000 community managers professionnels qui ont été audités à propos de leur métier. Zoom sur le profil type de ces professionnels des médias sociaux en cette année 2018 !

Une activité pas toujours centrale

Force est de constater à travers les résultats de cette enquête que les community managers français n’exercent pas tous ce métier à part entière. En effet, nombreux sont ceux qui intègrent le community management dans leur éventail de compétences, sans en faire pour autant leur unique mission de travail. Ainsi, plus de 20% des personnes interrogées indiquent détenir un poste dans le webmarketing incluant une activité de community management. Au contraire, seulement 20% d’entre eux réalisent uniquement un travail de gestionnaire de communautés dans le cadre de leurs fonctions.

Une activité réalisée chez l’annonceur

Une majorité de professionnels exercent chez l’annonceur, à savoir des PME pour 50% d’entre eux et dans une moindre mesure des TPE (20%). En ce qui concerne les community managers travaillant au sein d’une agence, ils représentent 22% des sondés, contre 16% pour ceux étant employés par une institution publique. Par ailleurs, on relèvera que près de deux tiers des travailleurs déclarent effectuer leur mission de manière isolée, en étant les seuls community managers de leur société.

Une prédominance de CDI

L’étude nous apprend également que plus de la moitié des community managers français sont employés en CDI au sein d’une structure. Quant aux personnes exerçant cette activité de façon indépendante, elles représentent seulement 13% des individus audités, soit un chiffre en baisse de 3 points depuis un an.

Une prédominance de femmes exerçant à Paris

Autre donnée mise en avant : une grande majorité des professionnels de ce secteur sont des femmes, à hauteur de 66% exactement.

Pour ce qui est de l’âge moyen, on notera qu’il s’élève à 28 ans étant donné que près de 70% des interrogés ont indiqué avoir entre 21 et 30 ans.

Enfin, pas loin de 40% des community managers exercent à Paris, soit deux points de moins que l’an dernier, un chiffre qui nous indique la tendance de la profession à être représentée de manière croissante en Province.

Un BAC+3 et quelques années d’expérience

Pour finir, nous apprenons qu’une grande partie des community managers français détiennent un Bac+3 ou plus (90%) et plus de 50% un Bac+5. Egalement, ces professionnels des réseaux sociaux ont pour la plupart une expérience assez récente, ne dépassant pas les 5 ans de pratique.

Comment réussir vos call to action ?

Il va sans dire qu’un contenu de qualité qui ne s’accompagne pas de call to action visibles et incitatifs risque de bien moins transformer vos lecteurs en clients ou prospects. Tout le monde s’accorde aujourd’hui sur l’importance de ces éléments au sein des contenus web, qu’il s’agisse d’ailleurs de sites e-commerce mais également de blogs ou encore de sites vitrine. Il est vrai que seuls vos boutons permettront à vos lecteurs de s’engager et à réaliser une action (vente, réalisation d’un devis, inscription à une newsletter…). Découvrez donc sans plus attendre les critères à respecter lorsque vous créez vos call to action !

Se mettre à la place de l’internaute

Tout d’abord, il semble important de préciser que l’intitulé de votre call to action doit directement inciter l’internaute à réaliser une action sur votre site. Pour ce faire, il est important de se mettre directement à la place de l’internaute, en explicitant clairement les bénéfices dont il pourra profiter en réalisant l’action ; par exemple recevoir de nombreux conseils dans le cadre de l’inscription à une newsletter.

Dans le même ordre d’idées, l’intitulé doit être le plus clair et explicite possible, toujours dans cette dynamique de se mettre à la place de l’internaute. Aussi, n’hésitez pas à répéter dans vos call to action les actions que s’apprête à réaliser l’internaute. Par exemple, écrivez « Découvrez nos prestations de rédaction web » plutôt que « En savoir plus ».

Soigner ses intitulés

Comme évoqué plus haut, l’intitulé des call to action est primordial puisqu’ils vont directement influencer la volonté de l’internaute à cliquer ou à passer son chemin. Il faut donc bien penser à adapter le texte à la situation de l’internaute. A titre d’exemple, un lecteur de blog qui vient de cliquer sur un article ne sera pas sensible, voir même un peu brusqué, à un call to action en début d’article lui demandant de s’inscrire directement à la newsletter. Ce type de bouton (par exemple : « Inscrivez-vous pour recevoir tous nos conseils ») sera en revanche davantage adapté en fin d’article.

Soigner le graphisme

Un beau bouton fera bien entendu plus envie à vos visiteurs, mais le graphisme du call to action va surtout servir à bien le mettre en avant. L’internaute doit en effet pouvoir le voir en un coup d’œil et comprendre de quoi il s’agit. Pour cela, n’hésitez pas à jouer sur la taille pour qu’ils puissent être suffisamment gros mais aussi sur les couleurs qui doivent pouvoir se différencier des autres éléments du site web.

Penser à l’emplacement

Pour finir, un call to action doit être placé là où le lecteur en a besoin. On pense à la fin d’un article mais d’autres call to action peuvent aussi être ajoutés à d’autres endroits de la page si besoin, à condition de ne pas non plus « surcharger » la page. Pensez aussi qu’il est tout à fait possible de réaliser des call to action textuels ; bien que moins visibles, ils peuvent être tout autant efficaces !

SEO : 3 erreurs classiques à ne plus faire !

Réussir à référencer un site web n’est pas toujours évidente, et ce malgré la présence de bons outils et parfois d’un travail d’optimisation de longue haleine. Effectivement, le SEO est une discipline parfois incertaine et qui nécessite de prendre en compte de nombreux éléments. Découvrez sans plus tarder les erreurs les plus classiques afin de pouvoir les éviter et ainsi maximiser vos chances de bien référencer votre site web !

Ne pas passer assez de temps à définir ses mots-clés

L’une des premières étapes du SEO est de définir des mots-clés, à savoir un ou plusieurs mots-clés par page, qui soient cohérents avec le contenu de celle-ci. Or, nombreux sont les personnes qui ne passent pas assez de temps sur cette étape pourtant si importante.

Par ailleurs, de multiples sites tentent un référencement sur des mots-clés trop « larges », c’est-à-dire présentant une concurrence trop importante. Il est au contraire recommandé de sélectionner des mots-clés plus ciblés, qui permettront au site de se positionner facilement et rapidement et ainsi atteindre des cibles qualitatives.

Par exemple, le site internet d’un magasin de chaussures implanté à Lyon aura tout intérêt à se positionner sur des requêtes géolocalisées telles que « magasin de chaussures Lyon » plutôt que « magasin de chaussures ». Cette dernière expression étant trop large, donc trop concurrentielle, mais aussi peu qualitative en termes de ciblage.

Ne pas suffisamment organiser ses contenus

Proposer un site disposant de contenus bien organisé est capital, à la fois pour vos lecteurs, mais également vis-à-vis de Google. Il ne faut donc pas hésiter à prendre du temps pour (re)penser l’organisation de vos contenus, en les classant par grandes thématiques, puis par sous-thématique, le tout en les mettant à la disposition de vos internautes.

De cette manière, ils pourront trouver facilement les contenus qui les intéressent et seront donc plus enclins à rester sur votre site. Indirectement, votre site remontera ainsi davantage dans les pages de résultats Google puisque ce dernier le considèrera comme assez clair et intéressant pour les internautes.

Ne pas faire la promotion de ses contenus

Beaucoup de personnes pensent uniquement au SEO, en faisant abstraction des autres leviers e-marketing. Pourtant, un contenu de qualité qui intéresse vos visiteurs risque également d’intéresser d’autres internautes. Aussi, n’ayez pas peur d’utiliser les réseaux sociaux ou encore l’emailing pour faire la promotion de vos contenus et de votre site web.

Cet aspect promotionnel est important puisqu’en cherchant des lecteurs en dehors du moteur de recherche de Google, vous augmentez ainsi vos indicateurs de qualité (nombre de visites, temps passé par session etc.), ce qui vous permet d’améliorer indirectement votre classement sur Google.